Enfin un Blazer pas blasant du tout

On est toutes d’accord pour dire que Le Blazer, c’est la pièce parfaite pour se la jouer girl boss au bureau le lundi, et meuf lookée pour un brunch le dimanche. En gros, c’est vraiment la veste qu’on peut toutes porter. Qu’on a déjà toutes porté d’ailleurs. Alors on en a parlé avec vous, et on a vite compris qu’on partageait toutes les mêmes frustrations. Trop formel, trop masculin, trop cintré ou trop lâche… Est-ce qu’il existe vraiment, ce blazer pas ch*ant ?

Heureusement qu’on adore les défis.

On a fouillé dans nos archives. On a retourné les fripes vintages et les vestiaires de nos mamans, voir de nos grands-mères pour certaines. La bonne épaisseur, la bonne longueur, le bon boutonnage, la bonne coupe, simple et moderne à la fois. Il nous aura fallu de l’énergie, mais quelques mois plus tard, il était né.

Un matin à l’atelier, Constance a posé une question capitale : “Eh Marion, est-ce que tu mets tes céréales avant ou après le lait ?”

Une fois toutes rassurées, on s’est posé la vraie question : “C’est quoi la différence entre un blazer et une veste de costume ?“

La réponse est assez subtile (et plus trop valable aujourd’hui), mais à l’origine, une veste de costume fait partie d’un ensemble. Elle est cousue dans le même tissu que le pantalon qui l’accompagne. A contrario, le blazer est une pièce solitaire. Pensée pour se porter avec absolument tout ce qu’on veut. Même avec absolument rien.

Une pièce indépendante, qui se porte avec tout, pour toute la vie ? Pas la peine de nous en dire plus, c’était bien Le Blazer qu’il fallait ajouter dans au vestiaire féminin. Au boulot.

Ce n’est pas nouveau, on a toujours pioché dans le vestiaire des mecs. Nos chemises, nos sweats, nos t-shirts oversize. On aime tellement ça, qu’on se demande même pourquoi certains attribuent encore un genre aux vêtements. Pour le blazer, même combat.

On l’a d’abord porté comme un symbole fort d’émancipation. Des suffragettes des années 1910 jusqu’au « power-suit » des années 80, le blazer a suivi les mouvements féministes et l’entrée des femmes dans le monde du travail. Peu à peu, on a commencé à le porter en dehors des sphères professionnelles. Juste pour avoir du style en toutes circonstances. C’est tout nous, ça. Go girl.

On l’adore, on en veut toutes un. Pourtant, il y a pas mal de choses qu’on aimerait changer chez lui. Et c’est là que vous entrez en scène, comme toujours. On a pris le temps de discuter ensemble, d’évoquer les qualités et les défauts de cette pièce. Comme toujours, vos retours ont été précieux pour identifier les grands problèmes de vos anciens blazers :

• Problème numéro 1 : Ils sont souvent mal ajustés, trop serrés au niveau des bras, avec des épaulettes trop épaisses. Vous vous sentez un peu étriquées. Voire “saucissonnées” pour certaines. On vous aime, ne changez rien.
• Problème numéro 2 : La longueur ne va jamais. Ils sont soit trop courts, soit trop longs. À deux doigts de penser que les fabricants le font exprès. En tout cas nous, on prend ça très au sérieux, promis.
• Problème numéro 3 : La coupe laisse souvent à désirer. Soit de base, dès que vous le portez la première fois. Soit avec le temps, puisqu’il finit toujours par se déformer.

Pas la peine de nous en dire plus : on remonte les manches et on travaille dur pour vous proposer la pièce que vous méritez. D’ailleurs elle est juste ici, voici Le Blazer et son histoire.

La première chose qu’on a faite, c’est partir à la recherche de LA bonne matière. Pour nous, c’est la base. Une bonne matière de qualité, ça joue sur la coupe, le tomber et la durabilité.

Pour Le Blazer, on s’est tourné vers le meilleur : une composition en 100 % laine vierge, douce et robuste. On a également doublé Le Blazer avec du coton et de la viscose pour la doublure des manches.

Pourquoi de la viscose ? Vous en posez des questions vous. Tout simplement parce que c’est une matière fluide, aussi douce que de la soie. C’est grâce à cette matière que vous pourrez glisser facilement vos bras à l’intérieur des manches, sans accroc.

Trop serrée, trop ajustée, trop d’épaulettes, trop longue, trop courte… On sait : le problème, c’est vraiment la coupe.

Le nôtre, il s’inspire des blazers universitaires. On l’a évidemment complètement revisité, mais ça nous a donné une bonne base pour commencer : vous vouliez un blazer à la fois élégant et confortable, le voici.

On lui a donné un col plus fin, une coupe droite que l’on a légèrement cintré. C’est grâce à ces petits détails que notre Blazer est mieux structuré, qu’il allonge naturellement la silhouette sans pour autant perdre en confort.

On a aussi retravaillé les épaules, puisque c’est ce qui donne le La à toute la structure de la pièce. Les épaulettes ont la taille parfaite : celle qui donne de l’aplomb, pas celle qui vous donne un effet camionneur. On n’a évidemment rien contre les camionneurs, merci à eux pour tout ce qu’ils font. Tout ce qu’on veut nous, c’est un bon Blazer.

Côté longueur, vous les trouviez trop courts lorsqu’ils tombaient au-dessus de la ceinture. Trop long lorsqu’ils tombaient en-dessous des fesses. Le nôtre les recouvre aux trois quart. Tout le monde est content.

Généralement, les blazers disposent de 4 boutons. Le nôtre, il n’en a que 2. On a opté pour un double boutonnage écarté,une disposition qui va permettre un effet bord à bord quand Le Blazer est ouvert. Au niveau des manches, on est restées classiques avec 3 boutons à hauteur des poignets. Simple et efficace. Le meilleur pour la fin, des grandes poches passepoilées à l’avant. Elles donnent un petit relief sympa, et vous pourrez y glisser un téléphone ou un porte-monnaie. Ou les deux, puisqu’il y a deux poches. Habile.

Parfois, les images parlent plus que les mots. Si on fait le bilan calmement et qu’on se remémore chaque instant, voici Le Blazer :

Ni trop strict, ni trop décontracté, Le Blazer peut être enfilé aussi bien le jour où vous allez demander une augment’ à votre boss que pour traîner les week-ends de brocante. Une veste indépendante et versatile, qui se porte aussi bien avec un jean, une petite jupe, par-dessus une chemise ou bien une robe. Une pièce idéale pour décaler vos tenues et varier vos styles du quotidien.

Dispo en 2 coloris : Noir et Bleu Marine. Deux coloris intemporels et iconiques qu’on vous met au défi de ne pas réussir à assortir. Vraiment. Allez-y, on attend.

Parlons peu, parlons bien. C’est le moment qu’on attendait toutes depuis le début de cet article.

Son prix : 199€ en préco puis 269€ en stock.

Au niveau des tailles : prenez la vôtre, ou une au-dessus pour un rendu plus oversize.

Il sortira en préco le 06 juin pour une durée d’un mois.

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Et si vous avez des questions, ça se passe en commentaires.

ASPHALTE